17/05/2013

BOEING



Pas de post ce week-end car je vais -et je sais d'avance que beaucoup n'y croiront pas- me passer d'internet pendant deux jours.
Je devine vos petits minois déformés et pétris d'éffroi derrière vos écrans, mais je vois ça comme un retour aux valeurs simples, celles d'un temps que nos arrières-grand-papys ont connus du temps des pionners qui ont batti les megapoles démesurées dans lesquelles nous vivont aujourd'hui, comme des rats, des rats de laboratoire, victimes d'une cruelle expérience.
J'ai conscience du danger, certains croiront à un défi de frappadingue, à un Everest que je tenterai d'atteindre, tel le capitaine Acab avec mon petit harpon en bandouillère et mon sherpa, Victor (il a été adopté), mais non, la vie sans internet est possible, et pas seulement pour les beatniks nus et défoncés, forniquant avec des souches.
J'imagine que moultes d'éditeurs s'arracheront mon récit de cette traversée du néant, du vide absolu, mais je ne veux aucun laurier, je saurai reste simple.

A lundi donc,

si je survis

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